Origine de la violence
L'Ingénierie des sciences sociales met en lumière les origines, les circonstances et les mécanismes de la violence. Ils sont consignés, principalement, dans deux Tomes de sa collection.
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1. La gouvernance de l'inconscient (Tome 1)
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La violence est naturelle et consubstantielle à l'existence humaine. Cette assertion tire sa validité lorsque l'on considère la violence comme étant toute action de l'un dégradant les intégrités psychologiques et physiques de l'autre. Cette consubstantialité tire ses origines de l'architecture de l'âme traduisant deux forces dynamiques autonomes : la dynamique de l'inconscient et la dynamique du conscient. De ces deux forces, celle de l'inconscient garantit la formation, l'entretien et la transformation du corps, socle principal de l'existence (rationnelle) de l'Être humain, voire de tout Être vivant. Par conséquent, c'est elle qui impulse toute action humaine et subordonne ainsi la dynamique du conscient. En d'autres termes, elle prévaut et gouverne la dynamique du conscient. Par défaut, elle pousse cette dernière à ne rechercher que les intérêts du corps auquel elle est attachée.
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2. La loi de la violence (Tome 5)
Diverses caractéristiques dites corpocentrées (égocentrées) développées par la dynamique de l'inconscient lui sont indispensables pour assurer sa mission : former, entretenir et transformer le corps de tout Être vivant. C'est du déploiement de celles-ci que s'impose la loi de la violence, inhérente au déterminisme biologique. En d'autres termes, de par la logique mise en lumière par l'Ingénierie des sciences sociales, ni plus ni moins, la violence est indissociable de la conservation (survie & bien-être) des vivants.
La force potentielle de transmission de cette loi à la conscience dépend de l'ensemble des équipements de survie propres à chaque espèce vivante. Plus ces derniers sont précaires chez une espèce, plus le potentiel de violence est élevé. On observe que l'Être humain est doté du potentiel de violence, de loin, le plus élevé à cause de l'extrême précarité de ces équipements.
Divers facteurs structurels exogènes successifs modulent les niveaux de débridement de ce potentiel par groupes humains. Le facteur exogène le plus fondamental est le climat, considéré en tant que condition de départ. Du climat tempéré au climat tropical, entre autres, la loi de la violence s'impose en chaque peuple à des niveaux spécifiques d'amplitude et de fréquence. Ces niveaux sont consolidés grâce aux mécanismes épigénétiques. .