Microanthropologie


Il est possible d'étudier et de comprendre autrement l'Être humain et les sociétés humaines. L'ingénierie des sciences sociales & humaines propose une voie d'analyse reposant sur le déterminisme biologique. Les fondements de cette analyse représentent la microanthropologie. Cette dernière permet, entre autres, de traiter l'ensemble des phénomènes psychiques, sociétaux et sociaux, d'évaluer quasiment toutes les doctrines et tous les paradigmes politiques. Cinq Tomes dans la collection de l'Ingénierie des sciences sociales & humaines fournissent tous les enseignements associés à son identité. 

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Contrôler le déterminisme biologique (Tomes 1, 2; 3 & 4)

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Le déterminisme biologique traduit l'activité d'un "logiciel" biologique, assimilé au système nerveux autonome, gouvernant tous les comportements des Êtres vivants. Il indique, par rapport à celle du conscient, la prééminence de la dynamique de l'inconscient dans le processus de leur survie.

Suivant cette prééminence, les neuroscientifiques matérialistes, les monistes, considèrent que la conscience est "propriété" de l'inconscient. Assimilant le corps à la dynamique de l'inconscient et réduisant la psyché à la conscience, ils arrivent à la déduction que "psyché est corporelle". Cette position décrit un déterminisme biologique radical où la conscience est totalement enclavée dans l'inconscient. Ceci ne laisse aucune possibilité d'émergences du libre arbitre, de la raison et de la responsabilité. C'est une erreur majeure d'interprétation qui, dès lors, impose une impasse. Cette impasse provoque des externalités négatives sur l'ensemble des sciences sociales & humaines.

D'après l'Ingénierie des sciences sociales, la dynamique de l'inconscient est à l'origine de la formation, de la transformation et de l'entretien du corps de tout Être vivant. Dès lors, corps est psychique. Cette logique, au-delà des contours dualistes, traduit aussi un déterminisme biologique, mais relatif. La conscience n'est pas enclavée dans l'inconscient, mais subordonnée. Elle ouvre des possibilités d'émergence de l'autonomie de la volonté du conscient, socle du libre arbitre, de la raison et de la responsabilité.

Dès lors, entre autres,

  • Le libre arbitre n'est pas inné ; c'est le fruit de l'interdit ; le libre arbitre est socle de la liberté anthropologique, mère de toutes les formes de libertés. Dès lors, la liberté est aussi le fruit de l'interdit.
  • La raison n'est pas innée ; elle est consubstantielle à l'autocensure.
  • L'existence du déterminisme biologique, même relatif, invalide de manière mécanique et radicale toutes les théories d'Emmanuel Kant sur la raison.
  • La responsabilité n'est pas innée ; la responsabilité individuelle dépend des systèmes politiques formels ou informels.

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La logique de l'intelligence (Tome 6)

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Suivant le déterminisme biologique, la nature, la fonction et l'amplitude de l'intelligence du conscient des espèces vivantes dépendent fondamentalement de l'intelligence de l'inconscient. Précisément, elles sont fonction de la qualité et de la densité d'informations potentielles injectées dans la conscience par la dynamique de l'inconscient.

Cette densité dépend, quant à elle, de l'ensemble des équipements de survie propres à chaque espèce vivante. Plus ces derniers sont précaires chez une espèce, plus la densité d'informations potentielles injectées dans la conscience est forte et plus le potentiel d'intelligence est élevé. On constate que, de toutes les espèces vivantes, cette densité est identique à tous les Êtres humains chez qui elle est la plus forte. Dès lors, peu importe la classe sociale et la couleur de peau, tous les Êtres humains sont dotés du même potentiel d'intelligence.

Cependant, d'une zone à l'autre, les conditions climatiques(*) influencent spécifiquement la propension à débrider ce potentiel. Ces conditions impactent les déterminants de l'intelligence dont, entre autres, les niveaux de compétition, de libération du potentiel du désir (à l'origine de la modernité) et d'accumulation d'automatismes d'aisance à débrider le potentiel de l'intelligence (phénomène épigénétique). Dès lors, en autarcie, chaque zone climatique est déterminée par une tendance spécifique de propension à débrider le potentiel de l'intelligence. A posteriori, ces diverses tendances expliquent les différences de niveau des potentiels de développement des nations d'aujourd'hui.

(*)Le climat est considéré ici comme condition de départ.

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