La formation du potentiel de l'intelligence humaine dépend de la dynamique de l'inconscient

L'évolutionnisme darwinien se heurte à un écueil insurmontable : la primauté de la dynamique de l'inconscient dans le processus de survie.

Créationnisme ou Evolutionnisme - Tome 7

La théorie de l'évolution peut-elle résister aux réflexions portant sur la mise en lumière de l'ingénierie consubstantielle à l'existant ? Cette question renvoie aux liens hypothétiques entre le néant et l'existant dans sa complexité. Aussi, peut-elle résister aux réflexions associées à la dynamique du déterminisme biologique ? Celles-ci fixent le déterminisme biologique comme principale instance susceptible de conduire éventuellement l'évolutionnisme darwinien.

Telles sont les deux principales questions auxquelles nous répondons afin d'évaluer la plausibilité, voire la crédibilité de la théorie darwinienne de l'évolution. Cette évaluation se solde par un échec. Précisément, tous les arguments, des plus basiques aux plus avancés, montrent que la théorie darwinienne n'est pas plausible ; a fortiori cette théorie est un obstacle structurel à la connaissance. Par contre, tout converge vers l'action d'une Conscience créatrice. 


Un rapprochement objectif entre l'évolutionnisme et le matérialisme neuroscientifique apporte la lumière sur ce qu'est l'Homme évolué de Darwin. Il est le fruit d'un déterminisme biologique radical. Ainsi, n'émerge en lui aucun phénomène psychique (libre arbitre, raison, responsabilité). Dès lors, sur ce critère, il n'est pas différent d'une bactérie. Ceci est une aberration. Car on sait, grâce à l'Ingénierie des sciences sociales & Humaines, que le déterminisme biologique chez l'Homme n'est, en réalité, que relatif. C'est ce caractère relatif qui permet l'émergence de l'ensemble de ces phénomènes.

Par ailleurs, en faisant usage d'une technique spécifique, il y est démontré que si l'évolution avait eu lieu, ce serait dans l'autre sens, c'est-à-dire de l'Homme au Singe. Précisément, c'est l'Homme qui serait ancêtre du Singe, et non l'inverse. Il y est aussi démontré l'incompatibilité entre la sélection naturelle et la sélection sexuelle ; l'impossibilité de la dynamique de l'inconscient, responsable de la transformation de la masse corporelle, à former le potentiel de l'intelligence : la conscience ne peut pas être le fruit de l'évolution ; etc.

Si elle avait eu lieu, l'évolution darwinienne aurait entraîné l'éradication de la pyramide alimentaire et, donc, la destruction de la vie dans son ensemble. Tous ces arguments invalident la théorie darwinienne de l'évolution.