Créationnisme ou évolutionnisme

De l'ingénierie en l'existant à l'arbitrage du déterminisme biologique

L'existence et la fonction des globules blancs dans le sang suffisent à désavouer la théorie de l'évolution

La théorie de l'évolution peut-elle résister aux réflexions portant sur la mise en lumière de l'ingénierie consubstantielle à l'existant ? Cette question renvoie aux liens hypothétiques entre le néant et l'existant dans sa complexité. Notamment, cet ouvrage met en lumière la logique et la cohérence inhérentes à l'existence et aux existants. Leur complexité et l'extrême précision qu'ils font valoir dénotent une ingénierie : ils sont le fruit d'une intelligence. Aussi, chaque existant a une finalité, réelle ou potentielle, dans un équilibre global. Cette finalité indique l'activité d'une intentionnalité et, donc, d'une volonté. Or, l'intelligence, l'intentionnalité et la volonté font partie des principales facultés de la conscience.

Par ailleurs, cette théorie peut-elle résister aux réflexions associées à la dynamique du déterminisme biologique ? Celles-ci fixent le déterminisme biologique comme principale instance susceptible de conduire éventuellement l'évolutionnisme darwinien. Il est, dès lors, pertinent d'analyser la compatibilité de la logique darwinienne avec celle du déterminisme biologique en tant que "programme" formant, entretenant et transformant le corps de tout Être vivant.

Telles sont les deux principales questions auxquelles nous répondons afin d'évaluer la plausibilité, voire la crédibilité de la théorie darwinienne de l'évolution. Cette évaluation se solde par un échec. Précisément, tous les arguments, des plus basiques aux plus avancés, montrent que la théorie darwinienne n'est pas plausible ; a fortiori cette théorie est un obstacle structurel à la connaissance. Par contre, tout converge vers l'action d'une Conscience créatrice.